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À propos du CAVAC | Questions fréquentes

Pour faciliter la consultation, les questions ont été regroupées sous les thèmes suivants :

Oui. Toute personne qui a été victime d’un crime commis au Québec peut bénéficier des services d’un CAVAC.

Non. Les CAVAC s’adressent aux personnes victimes d’un acte criminel, à leurs proches et aux témoins.

Oui. La personne victime peut s’adresser à un CAVAC en tout temps, même si le crime a été commis il y a plusieurs années.

Les proches d’une personne victime, les personnes dont elle a la charge ainsi que les témoins d’un crime peuvent bénéficier de l’aide d’un CAVAC.

Oui. Tant et aussi longtemps que se poursuivent les procédures judiciaires, et même par la suite. la personne victime peut recevoir l’aide d’un CAVAC.

Non. Les CAVAC peuvent intervenir auprès de la personne victime, du couple, de la famille ou du groupe, selon la demande exprimée.

Les services des CAVAC sont gratuits et confidentiels.

Non. Aucun délai ne s’applique pour s’adresser à un CAVAC. À la suite d’un crime, la personne victime peut recevoir des services d’un CAVAC en tout temps.

Non. Seuls les membres du Barreau du Québec peuvent émettre un avis juridique. Les membres de la Chambre des notaires peuvent agir comme conseillers juridiques, mais ils ne peuvent faire de représentation devant les tribunaux.

Oui. Les CAVAC informent les personnes victimes sur l’indemnisation des victimes d’actes criminels et les aident à remplir le formulaire requis pour en faire la demande.

Oui. Les CAVAC ont accès à l’information judiciaire. L’intervenant peut donc informer la personne victime sur le processus judiciaire en cours, incluant les dates d’audience, et lui dire, par exemple, si elle est assignée ou non.

Les services offerts par les CAVAC ont trait à l’aide et non à l’indemnisation ou à toute autre forme de compensation financière. Il appartient à l’IVAC (Indemnisation des victimes d’actes criminels) d’indemniser les personnes victimes qui sont admissibles. Toutefois, les CAVAC peuvent aider les personnes victimes en les informant de leurs droits et recours et en les dirigeant vers les organismes appropriés.

Non. La personne victime d’une introduction par effraction doit s’adresser à sa compagnie d’assurances personnelles. Toutefois, un CAVAC peut l’informer des autres recours possibles.